Vidéo / Biographie
Heureux de vous présenter mon site, j’en appelle a tous les amateurs amoureux des arts, professionnels et collectionneurs, afin de trouver tous contacts pour exposer, et par la même me faire connaitre en France comme a l’étranger.
« Personnage aux facettes multiples, iconoclaste et truculent, peintre, sculpteur, Christian Doulet est un travailleur acharné, un avide créateur à la curiosité insatiable. Autodidacte de formation, passionné de création, il est issu d’une famille ou l’expression artistique perdure depuis le règne de Napoléon Ier. Il compte un ancêtre exposé dans le château de Versailles et de nombreux membres de la famille peintres et sculpteurs de professions. Il dessine depuis le plus jeune âge, usant du noir et blanc (crayon et encre de Chine) jusqu’à l’âge de ses vingt ans, puis de la couleur sur les conseils d’une connaissance galeriste sur Paris. C’est alors la révélation. Il va désormais utiliser avec beaucoup d’à propos une combinaison de tons plutôt vifs pour traduire l’intensité de son émotion esthétique. Il opère par touches successives, approchant peu à peu des tonalités désirées tout en privilégiant les volumes qu’il veut obtenir.
Ses univers sont multiples. Ils sont enfantins et aériens avec les «Bonshommes lune», énigmatiques et drolatiques avec les curieux «Glutys», personnages inspirés aux yeux globuleux. Il faut aussi parler de la collection «Amalgame» où les animaux se mêlent les uns aux autres dans une symphonie de couleurs et de transparences soutenue par un jeu de lumière d’une surprenante beauté. L’ensemble forme à nos yeux l’expression d’un vitrail fort en nuances, ou d’une mosaïque sur laquelle la lumière transcende les multiples colorations. Il faut aussi ajouter à ses univers si singuliers les «cailloudous», les «cailloumous» et bien d’autres encore…
Il fait une fois l’an, une intrusion dans le monde des grands Maîtres par l’interprétation de toiles connues dans le monde entier (De Vinci, David, Vermeer, Velasquez, Courbet, Dali, Ingres, Delatour…), un mélange d’amalgame d’animaux et un traitement des corps originaux basé sur l’apposition de feuilles d’or travaillées ensuite au glacis. Il s’attache à donner une nouvelle visibilité aux choses, sans craindre de heurter les points de vue, pour en révéler la beauté et la poésie.
Une nouvelle orientation infinie et originale qui ne manquera pas de se faire remarquer.
Christian Doulet expose dans de nombreux salons (Automne, Indépendants, Artistes français, Art nature animaux, Business’art) et galeries. Il participe en outre à des expositions en France et à l’étranger (Hué/Vietnam, New York, Monaco, Tel-Aviv, Saint-Petersbourg, Shanghai, Moscou…), »
G. Lévy
Commissaire du salon BUSINESS ART
Directeur des Editions de la Gazette des Arts
















Surnommée « Noix de coco » en raison de son teint blanc laiteux et de ses cheveux châtains aux reflets roux, elle est surtout connue, de nos jours, pour sa relation amoureuse avec Amedeo Modigliani.

Georges de La Tournote 1 est un peintre lorrain, baptisé le à Vic-sur-Seille et mort le à Lunéville.
Artiste au confluent des cultures nordique, italienne et française, contemporain de Jacques Callot et des frères Le Nain, La Tour est un observateur pénétrant de la réalité quotidienne. Son goût prononcé pour les jeux d’ombres et de lumières fait de lui l’un des continuateurs les plus originaux du Caravage.
David « La mort de Mara »
La Mort de Marat (ou Marat assassiné) est un tableau de Jacques Louis David peint en 1793. Il est conservé aux musées royaux des beaux-arts de Belgique.
On y voit Jean-Paul Marat, révolutionnaire français assassiné chez lui le 13 juillet 1793 par Charlotte Corday. L’inscription à Marat, David qu’on retrouve sur la boîte de bois, dont la forme suggère une pierre tombale, indique qu’il s’agit d’un hommage à Marat que le peintre connaissait personnellement, et qu’il avait vu, dira-t-il, la veille de sa mort, tel qu’il l’a représenté (dans cette baignoire où il soignait sa maladie de peau).
Vermeer « La jeune fille à la perle »
La Jeune Fille à la perle ou La Jeune Fille au turban (Meisje met de parel) est un tableau de Johannes Vermeer peint vers 1665, exposé au Mauritshuis de La Haye (huile sur toile, 45 × 40 cm). On l’appelle aussi la « Joconde du Nord ».
De Vinci « La Joconde »
La Joconde, ou Portrait de Mona Lisa, est un tableau de Léonard de Vinci, réalisé entre 1503 et 1506, qui représente un portrait mi-corps, probablement celui de la florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l’huile sur panneau de bois de peuplier de77 × 53 cm est exposée au musée du Louvre à Paris. La Joconde est l’un des rares tableaux attribués de façon certaine à Léonard de Vinci.
La Joconde est devenue un tableau éminemment célèbre car, depuis sa réalisation, nombre d’artistes l’ont prise comme référence. À l’époque romantique, les artistes ont été fascinés par l’énigme[Laquelle ?] de La Joconde et ont contribué à développer le mythe qui l’entoure, en faisant de ce tableau l’une des œuvres d’art les plus célèbres du monde, si ce n’est la plus célèbre : elle est en tout cas considérée comme l’une des représentations d’un visage féminin les plus célèbres au monde1. Au xxie siècle, elle est devenue l’objet d’art le plus visité au monde, juste devant le diamant Hope2, avec 20 000 visiteurs qui viennent l’admirer et la photographier quotidiennement3.